radiofréquence

Les effets potentiels sur la santé des champs magnétiques de très basse fréquence entourant les lignes et appareils électriques font constamment l’objet de recherches et suscitent de nombreux débats publics.

Si les champs électriques et électromagnétiques de certaines bandes de fréquence ont des effets tout à fait bénéfiques, qui sont utilisés en médecine, d’autres fréquences non ionisantes, que ce soient les extrêmement basses fréquences, les lignes électriques ou certaines ondes à haute fréquence utilisées dans le domaine des radars, de la télécommunication et de la téléphonie mobile, semblent avoir des effets biologiques non thermiques potentiels plus ou moins nocifs sur les plantes, les insectes et les animaux ainsi que sur l’organisme humain, même en cas d’exposition à des niveaux inférieurs aux seuils officiels.

Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) organise une consultation publique qui aura lieu le 13 janvier 2020 à 9 h au Centre de conférences, Phase IV, 140, promenade du Portage à Gatineau (Québec). En effet, le Conseil amorce une instance en vue d’examiner les services sans fil mobiles au Canada. Cette instance se penchera sur trois principaux domaines : 1) la concurrence sur le marché de détail; 2) le cadre réglementaire actuel des services sans fil mobiles de gros, avec un accent sur l’accès des ERMV à ce marché; 3) l’avenir des services sans fil mobiles au Canada, avec un accent sur la réduction des obstacles au déploiement de l’infrastructure.

Fondé en 1968, le CRTC est un organisme public indépendant qui est présent dans la vie quotidienne des Canadiens depuis 50 ans. Le but de cet organisme est de superviser et réglementer la radiodiffusion et les télécommunications canadiennes.

[Daily Mail] L’incitation à déployer la dernière technologie mobile 5G à travers l'Angleterre a posé problème de la part de résidents en colère vivant dans un coin tranquille de Devon. La prochaine génération de connectivité Internet mobile est supposée transformer notre vie en offrant les vitesses les plus rapides et les connexions les plus fiables sur les smartphones et autres appareils. Mais les militants de Totnes affirment qu'il s'agit d'un grave danger pour la santé et ont persuadé les autorités locales de déclarer un moratoire sur l'installation du réseau haute fréquence.

Bien que la décision n'ait aucune force dans la loi sur l'aménagement du territoire, John Kitson, responsable de la campagne électorale, affirme que l'action du conseil municipal de Totnes est un avertissement aux ministres qu'ils ne peuvent pas introduire la 5G sans recherches supplémentaires sur ses effets sur la santé.

Guy Boulianne lance un cri du cœur et un appel émotif au rassemblement pour contrer le déploiement de la 5G à Montréal et ailleurs au Québec. Cet appel au rassemblement fait suite à la lecture d’un article paru le 17 juin dernier dans le journal anglophone Montreal Gazette. On y apprend que Montréal servira de « laboratoire vivant » destiné à tester la technologie 5G (50,000 à 60,000 antennes prévues à Montréal). François Croteau, du comité exécutif, dit que cela servira à enquêter sur la véracité des déclarations d’effets néfastes sur la santé de la 5G ! Il s’agit en fait d’un acte criminel.

Il faut mettre un STOP à ce projet. C’est URGENT. Ci-dessous la traduction de l’article du Montreal Gazette…

Envoyez un courriel (et éventuellement un tweet) à vos élus fédéraux, provinciaux et locaux. Nous avons pré-écrit un courriel PUISSANT pour vous. Nous leur ferons savoir la vérité sur la 5G et leur rappellerons leur responsabilité. Faites cela une fois pendant le sommet !

Selon votre code postal, la lettre sera envoyée entre autres à : Pierre Moreau, Patrick Brazeau, Joan Fraser, Claude Carignan, Diane Bellemare, Pierre-Hugues Boisvenu, Jean-Guy Dagenais, Dennis Dawson, Jacques Demers, Renée Dupuis, Éric Forest, Rosa Galvez, Marc Gold, Leo Housakos, Serge Joyal, Ghislain Maltais, Paul J. Massicotte, Marie-Françoise Mégie, Chantal Petitclerc, André Pratte, Raymonde Saint-Germain, Judith Seidman, Larry Smith, Josée Verner, Charlie Watt et Brenda Shanahan.

[L'illustré] Depuis que des antennes 5G ont été installées près de leur domicile, en plein Genève, ces habitants du même quartier souffrent de divers problèmes de santé. Sont-ils les victimes d’une technologie dont on n’a pas assez testé les dangers? Un médecin et député dénonce.

Réunis dans l’appartement de l’un des deux, au cinquième étage d’un immeuble du centre de Genève, ces habitants du même quartier se regardent. Ils ont pour point commun d’avoir des insomnies, des acouphènes, des maux de tête. Et un monceau de questions sans réponses. Le plus jeune, Johan Perruchoud, 29 ans, vit là depuis onze ans et n’est pourtant pas du genre à cultiver une quelconque haine contre la technologie envahissante. C’est un garçon en pleine santé, actif et positif, qui revient de quatre ans à New York et réalise des vidéos et des films finement ciselés pour des médias ou des privés, souvent en travaillant dans sa chambre avec son ordinateur.